Après 100 éditions, le Salon de l’Auto de Genève a mis la clé sous la porte définitivement – la version qatarie du GIMS est prévue pour novembre 2025. C’est grave, car c’est la fin d’une tradition, comme le pensent 59,4 % de nos lecteurs. Environ un quart de ceux qui ont répondu à la question RA de la semaine dernière estiment qu’avec les bonnes personnes à la tête de l’entreprise, il aurait été possible de sauver le Salon.16,2 % prennent au contraire la chose avec calme. Dans le passé, la voiture était plus importante, il est donc logique qu’un format comme le Salon de l’Auto de Genève ne soit plus adapté à notre époque.